Zuurstof is onmisbaar voor het (paarden)lichaam, het is nodig om de cellen in het lichaam van energie te voorzien. Zonder zuurstof betekenen krachtige spieren niets. Onderschat de power van zuurstofL’oxygène est indispensable pour l’organisme (du cheval). Il contribue à l’alimentation des cellules en énergie. Sans oxygène, des muscles bien développés deviennent inutiles. Ne sous-estimez donc jamais le pouvoir de l’oxygène ! nooit!
Facteur restrictif
Leur cœur particulièrement gros fournit le carburant dont les muscles ont besoin.
Alors que chez l’homme, le cœur constitue le principal goulet d’étranglement en matière de performances, le cheval est soumis à un autre facteur restrictif : en cas d’efforts intenses, un système respiratoire physiquement limité entraîne un manque d’oxygène.
Un volume pulmonaire énorme
Le volume des poumons d’un cheval est d’environ 50 litres. Et leur surface correspond à la taille de 10 terrains de tennis. À titre de comparaison : elle ne représente qu’environ un tiers d’un court de tennis chez l’homme. Les chevaux sont capables d’inspirer 1800 litres d’air par minute. Toutefois, le système respiratoire des chevaux est soumis à deux restrictions majeures, lesquelles limitent considérablement l’absorption d’oxygène. En cas d’effort intense, le cheval souffre alors d’hypoxémie (manque d’oxygène). La première restriction vient du fait que le cheval respire uniquement par le nez.
En outre, leur larynx relativement étroit freine de manière non négligeable le passage de l’air. Enfin, les chevaux sont dotés d’une longue encolure, ce qui signifie que la distance parcourue par l’air avant d’arriver aux poumons est particulièrement importante. C’est aussi pourquoi il leur est difficile d’inspirer et d’expirer rapidement.
Production d’énergie
Durant l’entraînement, le cheval respire plus rapidement que d’habitude. En effet, ses cellules musculaires requièrent une plus grande quantité d’oxygène pour la combustion. Le cheval puise l’énergie nécessaire à ses performances dans ses réserves de glucides et de lipides. Afin de les brûler entièrement, il doit y ajouter de l’oxygène. L’alimentation en oxygène passe par la respiration. Dès que l’intensité de l’entraînement augmente, le cheval commence à respirer plus rapidement afin de disposer d’une plus grande quantité d’oxygène. Tant que l’équilibre est maintenu, une production d’énergie aérobie peut avoir lieu et la formation d’acide lactique reste nulle. En cas de manque d’oxygène en revanche, l’organisme passe à une production d’énergie anaérobie et les muscles « s’acidifient », le cheval souffre alors de courbatures.
Problèmes respiratoires
il arrive régulièrement que les chevaux de compétitions ne répondent pas tout à fait aux attentes en matière de performances. On ne pense alors pas toujours à examiner les poumons. Un cheval peut en effet souffrir de problèmes pulmonaires sans forcément présenter de symptômes évidents tels que la toux, l’écoulement nasal ou une respiration difficile. Des études scientifiques démontrent que pas moins de 88 % des chevaux de sport présentant une baisse de performances souffrent d’une inflammation des voies respiratoires1.
Les écuries et les boxes : sources d’infections respiratoires
Les maladies respiratoires telles que les hémorragies pulmonaires et l’asthme sont fréquentes chez les chevaux. La raison ? Un cheval est fait pour vivre à l’extérieur. Le placer dans une écurie ou dans un box l’expose à une très grande quantité de particules de poussière. Il est scientifiquement prouvé qu’un cheval vivant à l’écurie risque davantage de souffrir d’inflammations ou d’autres maladies respiratoires. Les particules de poussière contiennent en effet des organismes qui se sentent particulièrement à l’aise dans les environnements chauds et humides tels que les champignons, les bactéries et les acariens.
Deuxième cause : une mauvaise ventilation
Une mauvaise ventilation dans l’écurie peut également nuire à la qualité de l’air et augmenter la quantité d’ammoniac, de germes pathogènes et d’autres substances. Tous ces micro-organismes sollicitent sans cesse le système immunitaire du cheval et peuvent provoquer des inflammations, des infections et des allergies. Et si votre cheval ne respire pas correctement, une petite infection respiratoire peut suffire à entraîner une diminution de ses performances ainsi que de ses capacités à récupérer après les efforts importants.
Solution n°1 : ventiler, ventiler, ventiler
La règle n°1 pour maintenir le système respiratoire de votre cheval en bonne santé consiste à ventiler correctement l’écurie. Et ce, au moins 4 fois par heure. Cela permet de neutraliser la chaleur et l’humidité produites par le cheval. L’écurie est pleine de toiles d’araignée ou l’air n’y est pas frais ? Pensez alors à contrôler la ventilation. En hiver aussi, veillez à aérer l’écurie via des ouvertures dans les murs et le plafond. Des portes et fenêtres fermées favorisent la formation de condensation et donc l’apparition de moisissures.
Solution n° 2 : du foin et de la paille de qualité
La règle n°2 concerne la qualité du foin et de la paille. En fonction des conditions météorologiques lors de la récolte ainsi que du type de séchage et de stockage, la paille et le foin sont susceptibles de devenir une source de micro-organismes pathogènes. Pensez donc à faire analyser votre fourrage grossier et prévoyez un espace de stockage sec. Cela vous permettra de lutter contre la prolifération de ces agents pathogènes. Un nettoyage à la vapeur est également idéal pour éliminer tous les organismes nocifs. Vous envisager de faire tremper votre foin ? Cela, en revanche, n’est pas une bonne idée : le trempage favorise en effet le développement des bactéries et des moisissures. Côté litière, préférez la sciure à la paille. Celle-ci est plus hygiénique et peut aider à maintenir les voies respiratoires de votre cheval en bonne santé.
Infection respiratoire ? Attention aux corticoïdes
Votre cheval souffre malgré tout d’une affection respiratoire ? Demandez à votre vétérinaire un traitement médicamenteux approprié et laissez votre cheval récupérer tranquillement. Et attention aux corticoïdes. Ces anti-inflammatoires puissants permettent vraisemblablement de maîtriser l’inflammation. Toutefois, une utilisation prolongée de ces médicaments affaiblit les défenses immunitaires du cheval et augmente le risque de laminite (fourbure aigüe). En outre, pour les chevaux de compétition, les corticoïdes ne sont pas des médicaments standards. Lors des concours, par exemple, ils sont considérés comme des produits dopants.
Recommandation de notre expert en alimentation 3 compléments nutritionnels pour un système respiratoire sains
Les plantes et les extraits contenus dans les produits de notre gamme de compléments Respiratory System & Airways ont une efficacité scientifiquement prouvée. Nos 3 compléments agissent de manière différente. Nous les recommandons en fonction des circonstances :
Cavalor Bronchix Pulmo : soutient les poumons et accroît leur élasticité durant l’entraînement
Cavalor Bronchix Pure : soutient le système respiratoire de manière intense
Cavalor Bronchix Liquid : dégage les voies respiratoires
Cavalor Bronchix Pulmo : efficacité scientifiquement prouvée
L’effet de Cavalor Bronchix Pulmo chez les chevaux souffrant d’une hémorragie pulmonaire induite par l’exercice (HPIE) a été scientifiquement démontré.
« Un test clinique réalisé sous ma supervision a démontré que Cavalor Bronchix Pulmo était un complément prometteur permettant de réduire les inflammations des voies respiratoires et de prévenir l’HPIE chez les chevaux de course actifs. » Le Dr Emmanuelle van Erck-Westergren
Docteur en médecine vétérinaire, PhD, diplôme ECEIM, spécialisée en médecine interne chez les chevaux
1 Fungi in respiratory samples of horses with inflammatory airway disease J. Dauvillier, F. ter Woort, E. van Erck‐Westergren Journal of Veterinary Internal Medicine, Volume 33, Issue 2